mercredi 28 avril 2010


Telek et Stilla sont-ils partis à la retraite (ici au réfectoire de l'hospice, avec leur ami Serge B.)?


"Bons baisers du Village Vacances Français de Grasse.
Il fait très beau...


L'eau de la piscine est bleu turquoise. Malheureusement, le port du bonnet de bain est obligatoire, et nous n'avons pas apporté les nôtres.


Mercredi prochain, excursion prévue dans ce joli village typique. Mais il faut verser un supplément qui excède notre budget vacances. Nous hésitons.
A bientôt."
T. et S.

samedi 24 avril 2010




De jeunes gens libérées de la pesanteur (capitaines de quinze ans qui font la course dans les coursives), un index de plâtre pointé vers le ciel, une baignoire échouée en plein désert, des chamailleries de collégiens dans une salle de classe suspendue au milieu des étoiles, une armure féodale dans un navire spatial, deux ans de vacances de la Terre à la Lune à bord de l'Albatros... Moscow-Cassiopeia (1973).


mardi 13 avril 2010

dimanche 11 avril 2010

A défaut d'être "L'homme qui aimait les femmes", on peut toujours être L'homme qui aimait les films.


lundi 5 avril 2010

Ils sont ressuscités!


C'est le jour du Grand Passage (-Pâques- du latin ecc. "Pascha", emprunté à l'hébreu "Pessa'h", paraît-il). Telek et Stilla sortent de la nuit où leur silence les a ensevelis.








Joyeuses Pâques


Toutes les cloches tintinnabulent. Sauf une. La cloche fêlée.


II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver,
D'écouter, près du feu qui palpite et qui fume,
Les souvenirs lointains lentement s'élever
Au bruit des carillons qui chantent dans la brume.

Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jette fidèlement son cri religieux,
Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente!

Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis
Elle veut de ses chants peupler l'air froid des nuits,
II arrive souvent que sa voix affaiblie

Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie
Au bord d'un lac de sang, sous un grand tas de morts
Et qui meurt, sans bouger, dans d'immenses efforts.

(C. B.)