Même pour qui déteste les nourrissons (comme Telek) et considère que la vie n'est pas nécessairement le plus beau cadeau qu'on puisse faire à quelqu'un, il faut reconnaître qu'on touche ici au sublime.
Comme toujours, avec Pelechian, la succession des images obéit à des lois purement musicales: énoncé du thème, reprises et variations, mouvement lent, rupture, changement de tempo, envolée, final allegretto (scrutant, une fois encore, le mystère d'un visage d'enfant), suspens...
Battement de coeur, fracas régulier du train, avec Pelechian il en va toujours de la pulsation de la vie (et ça vaut mieux que les vagissements du nouveau-né).
mardi 2 février 2010
Artavazd Pelechian -- Life (Kyanq)
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J'aime bien la scène de la douche.
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