vendredi 12 mars 2010

-Je hais, de toutes mes forces, les générations qui me précèdent, ces couches d’affreux rustres qui éprouvent le besoin de parler et de rire haut dans les restaurants et dans les cafés, qui vous bousculent, sans demander pardon, sur les trottoirs, qui vous jettent, sans même s’excuser, sans même saluer, les roues d’une voiture d’enfant, entre les jambes.
L’Empire d’Occident croule sous la grossièreté et la vulgarité ; la vie agonisante qu’il traîne dans l’imbécillité et dans l’ordure s’éteint; la fin de l’univers semble d’ailleurs proche ; les cités oubliées par cette déliquescence seront décimées par la corruption et le calcul égoïste; la politesse et la délicatesse semblent s'effondrer, à leur tour, sous les ruines du monde.
Telek, reviens, ils sont devenus fous!

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