vendredi 12 mars 2010

-Telek, ô Telek:
J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé,

Couché avec ton fantôme
Qu'il ne me reste plus peut-être,
Et pourtant, qu'à être fantôme
Parmi les fantômes et plus ombre
Cent fois que l'ombre qui se promène
Et se promènera allègrement
Sur le cadran solaire de ta vie.

Telek, reviens!

1 commentaire:

  1. Mais qui peut bien être cette jeune femme ? Une idée de son identité ?

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